François-Frédéric Guy continue son exploration de Beethoven.
L’univers des trente-deux sonates pour piano constitue une galaxie
fascinante au sein de laquelle le pianiste français s’est imposé
magistralement, et qu’il prolonge par le romantisme de Brahms.«
Vous n’imaginez pas quel courage il faudrait quand on entend
derrière soi les pas du géant que fut Beethoven » confia Brahms à
l’un de ses amis. Il fut pourtant l’un des plus beaux héritiers
de Beethoven et Guy nous le rappelle, en faisant dialoguer trois
monuments du piano.Durée : 1h30 sans entracte