LE GROS QUI FUME COMME UNE CHEMINÉE EN HIVERAprès les triomphes de
LA PEUR, EST-CE QUE J’AI UNE GUEULE D’ARLETTY ? et JE NE COURS PAS
JE VOLE, découvrez le nouveau spectacle d’Élodie Menant LE GROS
QUI FUME…comme une cheminée en hiverInspirée d’une histoire
vraie, cette aventure humaine est un souffle de vie !Juan est auteur,
papa, animateur radio et fan de foot.Ce soir, l’Argentine joue
contre le Paraguay. Juan fait un pari stupide et le perd. Le voilà
parti pour l’Argentine où il va défier le hasard, succomber à
l’amour, découvrir l’hôpital, rencontrer le patron d’Airbnb,
contourner les embouteillages, bouleverser Agustin et Clara et tenter
de retrouver sa fille.Allumez la radio et dites-nous si vous croyez au
hasard ?Écrit par Élodie Menant & Gaston RéAvec : Pierre Bénézit,
Lauriane Escaffre, Marc Pistolesi, Floriane VincentAssistante mise en
scène Hélène DegyLumières Cyril ManettaMusiques Mehdi
BourayouCostumes Bérengère RolandScénographie Juliette Azzopardi et
Jean-Benoît ThibaudNOTE D’INTENTION D’ÉLODIE MENANT :Certains
mots sont indissociables de cette histoire : radio, voyage,
magie.J’ai donc imaginé un dispositif scénique qui accompagne ces
3 mots.La Radio : La Radio est le fil conducteur de cette histoire.
Nous commençons dans un studio d’enregistrement et nous finissons
dans ce même lieu. Les protagonistes révèlent aux auditeurs
qu’ils vont leur raconter une histoire vraie, et telle la petite
boîte à musique qu’on ouvre et qui nous transporte dans un univers
musical avant de se refermer, nous utilisons le décor qui représente
le studio d’enregistrement pour créer de nouveaux espaces et
transporter le spectateur dans un autre univers, dans un autre pays,
avant de revenir au décor initial, celui du studio et clôturer le
spectacle.La magie : La magie des panneaux à roulettes est qu’ils
créent très rapidement un espace en trois dimensions qui suggère un
lieu sans entrer dans un réalisme total, et qui surprennent par leurs
utilisations multiples. Le tout soutenu par des éclairages
spécifiques. J’avais le souhait de lumières d’appoint pour
créer de la poésie, de suspensions, d’espaces isolés, d’un «
zigzag » suspendu à divers endroits du décor qui représente, soit
le logo de la station de radio, soit l’électrocardiogramme de Juan.
La fumée au sol au moment de l’envol d’Agustín, le lâcher de
ballons pendant lequel certains restent de manière mystérieuse en
suspension, accompagneront la magie de cette histoire.Le voyage :
Enfin, ce voyage qui nous entraîne de l’Espagne à l’Uruguay puis
à l’Argentine, de l’appartement, à la voiture, à l’hôpital
… est suggéré par des lumières aux teintes variées, par des
façades de décor aux couleurs diverses, par les musiques
sud-américaines, le chant des supporters de foot argentin ; quelques
paroles en argentin. etc. J’espère que les spectateurs ressortiront
inspirés par cette histoire, emplis d’ondes positives, joyeuses,
revigorés à l’espoir et connectés à la magie que la vie nous
offre par instant.
music
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03/09/2025 Last update